Famille de Montrichard

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Famille de Montrichard
Image illustrative de l’article Famille de Montrichard
Armes de la famille.

Blasonnement De vair à la croix de gueules
Devise Præmium virtutis honor, l'Honneur récompense le courage.
Période XIIIe siècle - aujourd'hui
Pays ou province d’origine Drapeau de la Franche-Comté Franche-Comté
Fiefs tenus Blandans, Bouverans, Estroyes, Fertans, Flammerans, Frontenay, Grenod, Mercurey, Nans, Nant, Nozeroy, Peintre, Saint-Martin, Sirod, Voiteur
Demeures Château de Frontenay
Château de Nozeroy
Château de Sirod
Château de Saint-Martin (Saint-Saulge, Nièvre)
Château de Saint-Martin (Frontenay, Jura)
Château de la Chasseigne
Château du Marais
Château de Romenay
Château de Cléron
Charges Grand gruyer de Bourgogne
Conseillers généraux
Maires
Fonctions militaires Gouverneur de Besançon
Fonctions ecclésiastiques Chanoine
Abbesse
Récompenses militaires Chevaliers de Saint-Georges
Ordre national de la Légion d'honneur
Croix de guerre 1914-1918
Preuves de noblesse
Autres ANF-1937

La famille de Montrichard est une famille subsistante de la noblesse française, d'extraction féodale, originaire de Franche-Comté[1],[2],[3]. La filiation suivie remonte au XIIIe siècle, par le testament de Gérard de Montrichard en 1285[4]. La famille a donné treize chevaliers de l'ordre de Saint-Georges[5].

D'abord sous l'autorité des comtes et ducs de Bourgogne, les Montrichard ne se sont soumis à l'autorité française que lors de l'annexion de la Franche-Comté par Louis XIV, entérinée par les traités de Nimègue en 1678.

Le nom de cette famille vient d'un promontoire situé sur la commune actuelle de Nans-sous-Sainte-Anne (Doubs) et couronné d'un château-fort à trois enceintes (du latin tri cardium), d'où la prononciation du nom : « Mon-Tri-chard ».

Cette famille compte des gouverneurs de place militaire, un premier gentilhomme du prince d'Orange, maître d'hôtel des comtes de Bourgogne, des gruyers, un officier d'aviation pendant la Première Guerre mondiale, des chanoines, des abbés et abbesses.

Origines et histoire[modifier | modifier le code]

Château de Cléron (Doubs), datant du XIVe siècle.

La famille de Montrichard pourrait être issue de la branche cadette des seigneurs de Scey[6].

La famille de Montrichard tire son nom du château-fort de Montrichard, situé au bailliage de Nans-sous-Montmahoux, aujourd'hui commune de Nans-sous-Sainte-Anne, dans le Doubs, qui constituait l'une des nombreuses défenses sur la route du sel de Salins.

Les seigneurs de Montrichard au XIIe siècle et au début du XIIIe siècle, portent déjà «De vair à la croix de gueules» mais la filiation prouvée ne débute qu'avec Gérard de Montrichard en 1285.

Le premier possesseur du château, Guillaume de Montrichard, à la fin du XIIIe siècle, épouse Guyette d'Andelot. Dans la deuxième moitié du XVe siècle, alors que la branche aînée garde les seigneuries de Nans, Flammerans et Fertans (et rachète Montrichard précédemment aliéné), la branche cadette, dite de Nozeroy, garde le Château de Sirod, château de Saint-Martin et de Frontenay. C'est de cette branche que descendent les Montrichard qui s'implantèrent en Nivernais[2] à la fin du XVIIIe siècle.

En 1789, Gabriel Étienne de Montrichard (1745-1799), qui avait reçu le château de Saint-Martin dans le Jura, épouse Gilberte Rapine de Sainte-Marie, d'une vieille famille nivernaise qui lui apporte le château et les terres de La Chasseigne près de Nevers. Leur fils Ferdinand de Montrichard (1790-1866), par son mariage avec Alexandrine-Louise de La Rochefoucauld-Coussage, entre alors en possession des terres du Nivernais central (Aubigny, Dienne, Langy) du château de Romenay ainsi que du château Marais et du Colombier près de Nevers.

Leur fils Armand de Montrichard (1812-1875) vend bientôt le château de Saint-Martin en Franche-Comté et le château du Colombier pour mieux entretenir le château de La Chasseigne.

Par mariage au début du XXe siècle, le second fils d'Armand, Gabriel de Montrichard (1848-1920), s'établit dans le canton d'Amancey (Doubs) d'où le nom des Montrichard avait totalement disparu au XVIIIe. Il s'établit donc au château de Cléron (tout proche du berceau familial) en épousant Marie Terrier de Loray.

Cette famille a été admise à l'ANF le 9 mai 1937[7].

Souche commune[modifier | modifier le code]

  • Gérard de Montrichard ( -), chevalier, sir de Montrichard, marié à Dame Peratte (réputée issue de la maison de Scey), ce dernier fit un testament en 1285[3] dans lequel apparait ses frères et sœurs Jean Ier de Montrichard (?-?), Isabelle de Montrichard (?-?), Tranquille de Montrichard (?-?) et Béatrix de Montrichard (?-?). Il eut pour descendance Jean II de Montrichard (?-?), Guillaume Ier de Montrichard (1235-1306) et Berthod de Montrichard (?-?).
    • Jean II de Montrichard (?-?)
    • Guillaume Ier de Montrichard (1235-1306), chevalier, marié à Guyette d'Andelot (1250-). Il eut pour enfants 1° Jean III de Montrichard (1270-1351), 2° Richard de Montrichard (-) damoiseau, 3° Guillaume II de Montrichard (?-?), 4° Guillemette de Montrichard, mariée à Richard d'Eternoz, 5° Perrin Ier de Montrichard (?-?). Un testament a été rédigé en 1306.
    • Berthod de Montrichard (?-?)
  • Guillaume II de Montrichard (-), écuyer en 1338, mort sans postérité.
  • Richard de Montrichard (-), chevalier, Seigneur de Montrichard, il aliéna en 1333 la terre de Montrichard à Jean de Chalon (-), appelé aussi Jean bâtard de Chalon, Seigneur d'Alray[8].
  • Perrin de Montrichard (-) écuyer, marié à Françoise de Grusson. De cette union, il eut 1° Jean de Montrichard (-), 2° Guillaume III de Montrichard (-) écuyer, 3° Renaud de Montrichard (-) écuyer, mort sans postérité 4° Jeanne de Montrichard (-).
  • Jehan de Montrichard ou Jean III de Montrichard (1270-1351), chevalier, épousa Madeleine de Salins (1300-1351) en premières noces. Il fut marié à Jeanne d'Andelot[8]. Dunot, dans son histoire du comté de Bourgogne, dit de la famille de Montrichard qu'elle est une branche cadette de la famille de Scey-Montbéliard[6]. Il vivait encore en 1351, date à laquelle il rédigea un testament. Il eut 1° Guillaume III de Montrichard (-), 2° Jean IV de Montrichard (-), 3° Perrin II de Montrichard (-).
  • Jean IV de Montrichard (-), seigneur de Nant. Il vendit le fief de Mouance en 1373.
  • Guillaume III de Montrichard (1320-1388), chevalier établi à Salins. Il épousa en 1352 Marguerite Merceret. De cette union naitront 1° Jean V de Montrichard (1370-1440), 2° Jeanne de Montrichard (-) mariée au seigneur de Courlaou, 3° Jean VI de Montrichard (-) religieux, 4° Simon de Montrichard (-) mort jeune, 5° Claude de Montrichard (-1448) mariée avec le seigneur de Viremont en premières noces, puis à Pierre de Quingeay, seigneur de Bourboillon.
  • Jean VI de Montrichard (-), religieux l'abbaye de Baume-les-Messieurs. Prieur Commendataire et curé de Saint-Étienne de 1532 à 1540.
  • Jean V de Montrichard (1370-1440), chevalier, seigneur de Saint-Aubin et Grozon. Il épousa en 1411 Jeanne de Salins-La-Bande (1390-), fille de Guy de Salins-La-Bandes (-1417), conseiller du duc de Bourgogne Jean (sans Peur), chambellan et maître d'hôtel du duc. Ils eurent pour enfants 1° Guyot de Montrichard (1420-), 2° Marguerite de Montrichard mariée en 1443 à Antoine de Chassagne, 3° Alix de Montrichard, marié en 1430 à Antoine de Villiers seigneur de Boncour, 4° Claudine de Montrichard, mariée en 1440 à Jacques de Lantenne, 5° Jean III de Montrichard (-) Prieur de Vincelle, religieux et chambrier de l'abbaye de Baume en 1448, 6° Henry de Montrichard (-).
  • Jean de Montrichard (-1495), épousa en 1478 Guyonne de Richarme. Il eut Antoine de Montrichard (-).
  • Henry de Montrichard (-), Seigneur de St Aubin, il épousa en 1468 Marguerite d'Usie. Il eut comme fils Denis de Montrichard (-1531).
  • Denis de Montrichard ( -1531), capitaine et gouverneur du fort de Joux[9]. Il épousa Philiberte d'Alray. L'empereur Maximilien Ier, prédécesseur de Charles Quint, craignit une invasion française de la Franche-Comté par les troupes de Louis XII. Pour la sécurité de l'empire il ordonna à Denis de Montrichard une expédition militaire. Il remporta la forteresse et le château de Joux en 1507. Sa dépouille repose au monastère des Augustins de Pontarlier, non loin du château de Joux. L’épitaphe aujourd'hui perdue, a été décrite par l’historien Jacques Droz : "Ci-gît Denis de Montrichard, écuyer, jadis capitaine de la forte maison et chastel de Joux qui, par sa prouesse soublt a garde Louis de Vaudrey, jadis Bailli d’Aval, capitaine de la garde du Roi de Castille, a réduit ledit chastel en son obéissance, qui trépassa le premier octobre 1531"[10]. Union sans postérité mâle.
  • Guyot de Montrichard (1420-), chevalier, seigneur de Bouverans et de Nans. Marié en 1441 à Marguerite de Fallerans (1425-1476). De cette union, il eut 1° Jean de Montrichard (-) mort jeune 2° Claude de Montrichard ( -1559) (voir ci-après), 3° Pierre Ier de Montrichard ( -1531), 4° Catherine de Montrichard mariée à Edme de Louverot, 5° Jeanne de Montrichard (-1499), abbesse de Notre-Dame de Migette en 1496, 6° Antoine de Montrichard ( - ), religieux, sacristain à St Bénigne de Dijon.

Branche cadette de Nozeroy (subsistante)[modifier | modifier le code]

  • Claude de Montrichard ( -1559), maître d'hôtel et gouverneur de Philibert de Chalon, prince d'Orange & vice-roi de Naples, mort en 1530. Il épousa en 1499 Avoye de Jougne (-), fille unique de Pierre de Jougne qui tenait le premier rang de la cour de Louis II de Chalon-Arlay, prince d'Orange, et gouverneur du comté de Bourgogne. Les Nassau succédèrent donc aux Chalon. Pendant six générations, jusqu'à la conquête française en 1678, les descendants de Claude de Montrichard ( -1559) furent de père en fils capitaines et gouverneur des villes et châteaux de Nozeroy ; grands gruyers des biens des Chalon puis des Nassau en même temps qu'ils étaient seigneur de Sirod. Il eut pour fils unique Antoine II de Montrichard (1502-1581).
  • Antoine de Montrichard (1502-1581), aussi connu sous le nom d'Antelme de Montrichard, Capitaine et gouverneur des ville et château de Nozeroy, seigneur de Bouverans, nommé seigneur de Sirod par Henri III comte de Nassau en 1533. Il épousa en 1518 Louise Merceret de Salins (-1548), cousine germaine de Nicolas Perrenot de Granvelle le tout puissant chancelier et premier ministre de Charles Quint. Antoine de Montrichard (1502-1581) représenta les intérêts de René de Nassau, héritier de Philibert de Chalon jusqu'en 1554[11]. Il eut comme enfants 1° Gérard de Montrichard (1536-1590) et 2° Pierre II de Montrichard (-).
  • Pierre II de Montrichard (-), fils d'Antoine de Montrichard (1502-1581), marié à Anne Dutartre (-). Mort sans postérité.
  • Gérard de Montrichard (1536-1590), commandant au siège de Tournay, mestre de camp des armées espagnoles aux Pays-Bas. Il épousa en premières noces Marguerite de Roisin Hainaut, puis en secondes noces Louise Vauchard (-), fille de Pierre Vauchard conseiller en parlement. Il commanda contre les rebelles au siège de Tournay, sous les comtes de Mansfeld et de Lalling. Il fut nommé par Philippe II roi d'Espagne, gouverneur de Nozeroy en 1586. De sa première union avec Marguerite de Roisin Hainaut, il eut Nicolas de Montrichard (-) Seigneur du Verger. De son union avec Louise Vauchard, il eut 1° Roland de Montrichard (1586-1641), 2° Pierre de Montrichard (-1611), chanoine de Nozeroy, abbé de Notre-Dame de Billon[12], et 3° Anne de Montrichard.
  • Nicolas de Montrichard (-) Seigneur du Verger. Il épousa en premières noces Françoise de BLIC (-) en 1600 sans descendance. Puis d'un second mariage en 1604 avec Bernardine de Chauvirey (-) avec laquelle il eut Marguerite de Montrichard (-1637) chanoinesse de Migette, Antoinette de Montrichard (-1637) chanoinesse de Migette et Denise de Montrichard (-) mariée en 1637 à Pierre-Louis de Saint-Mauris. Sans descendance masculine.
  • Roland de Montrichard (1586-1641).
    Roland de Montrichard (1586-1641)[13], premier gentilhomme du prince d'Orange, capitaine des mousquetaires et gouverneur de Nozeroy, seigneur de Bouverans et de Sirod. Épousa en 1615 Marguerite de Trieste (-), demoiselle d'honneur d'Éléonore de Bourbon-Condé, princesse d'Orange. La Franche-Comté est alors sous allégeance espagnole. Louis XIII conseillé par le cardinal de Richelieu décide d'annexer la région, c'est la guerre de Dix ans (1634-1644). Roland de Montrichard alors capitaine, commande 300 mousquetaires[14] lors des campagnes de Bresse et de Bugey ' qui resteront comme les principales victoires de la Franche-Comté sur le Royaume de France. Avant que le Royaume de France ne vienne anéantir définitivement la rébellion comtoise menée par les ducs de Bourgogne et les Princes d'Orange. C'est alors que le maréchal de Guébriant envoyé par Louis XIII va faire le siège de Nozeroy en 1639 et défaire Roland de Montrichard[15]. Il occupera les lieux pendant trois longues années tourmentées. En effet les combats, la misère, le désordre général additionnés à des périodes de peste et de famine vont favoriser les violences et l'insécurité à tous les niveaux. "Les hommes volaient, maltraitaient, tuaient pour se défendre, pour se venger, pour s'imposer quand ils n'assassinaient pas simplement pour leur plaisir, forts de la crainte qu'ils inspiraient, sûrs de rester impunis. Cette violence quotidienne que la peur, le désespoir et la cupidité attisaient, s'exerçait contre n'importe qui, sans distinction de rang ni de sexe, contre l'étranger, le voisin, les proches"[16]. Dans ce désordre environnant, il fut pris à partie et assassiné "(...) Roland de Montrichard, sergent major du colonel d'Arnans, fut assassiné vers les halles d'Ornans; sa femme qui l'accompagnait connut le même sort"[16]. De cette union, il eut 6 enfants, 1° Philippe-Guillaume de Montrichard (1616-1688), 2° Jean-Claude de Montrichard, chanoine de Baume les Messieurs, 3° Jeanne-Philiberte de Montrichard (-), mariée en 1640 à Pierre du Pin-Jusseau, 4° Jean-Ernest de Montrichard (-), tué à la guerre sans postérité, 5° Jean-Michel de Montrichard (-1652), tué à la guerre sans postérité en 1652, et 6° Louise-Christine de Montrichard mariée à Frédéric de Tournon.
  • Charles de Montrichard (1774-1820)[24].
  • Louis-Ferdinand de Montrichard (1790-1866), Mousquetaires de la garde ordinaire du Roi puis gentilhomme de sa chambre, capitaine des chasseurs, Chevalier de Saint-Georges (1816). Il épousa Alexandrine-Louise de La Rochefoucauld (1790-1837). Il eut 1° Louis-Gabriel-Armand de Montrichard (1812-1875), 2° Caroline de Montrichard (-1893) mariée à Balthasar de Chevenon de Bigny et décédée au couvent des Dames du Cénacle à Paray-le-Monial.
  • Alfred Gabriel de Montrichard (1802-1863), garde du corps du roi dans la compagnie de Noailles (1824), capitaine de gendarmerie. Il est ancien élève de l'école royale spéciale militaire de Saint-Cyr, 2e promotion «1819-1821». Il épousa Bernardine Alcazar en 1835, une demoiselle de Trinité-et-Tobago.
  • Louis-Gabriel-Armand de Montrichard (1812-1875), épousa Louise Hurault de Vibraye (1824-1853). De cette union; 1°Gaston de Montrichard (1845-1924), 2° Gabriel de Montrichard (1848-1920), 3° Bathilde de Montrichard (1851-1908), 4° Louis, vicomte de Montrichard (1953-1902).
  • Gérard de Montrichard (1839-1927), inspecteur des Eaux et Forêts. Né à Bourg le 17 février 1839, marié à Caroline-Marie-Marguerite-Virginie Cochard, il décéda chez lui au château de Rigny en 1927 et y fut inhumé (dans la petite chapelle sur le flanc droit de l’église de Rigny, comprenant deux gisants). Le château de Rigny fut alors transmis à sa fille Suzanne, épouse de Léon Gabriel Corblet (1878-1969), armateur au Havre, et qui résidait à Paris. Ce dernier était par ailleurs le frère de Madame Germaine Alice Corblet, épouse du 17e président de la République française, René Coty. Il eut également Claude-Louis de Montrichard (1894-1977), pilote dans l'armée de l'air.
  • Gabriel de Montrichard (1848-1920), Conseiller général du Doubs (1910-1920) et maire de Cléron. Il épousa en 1874 Marie Terrier de Loray (1853-1931). De cette union, il eut Marguerite de Montrichard (1876-1931) qui épousa en 1895 Robert d'Oilliamsion (1867-1938).
  • Gaston de Montrichard (1845-1924) épousa en 1873 Michelle de Damas d'Anlezy (1853-1895), petite fille d'Ange Hyacinthe, Baron de Damas, général, ministre de guerre et Paire de France sous l'Empire. Il est né le 12 aout 1845 au château de Bazoches dans la Nièvre. Saint-cyrien de la promotion du Danemark (1863-1865), il est nommé sous lieutenant en 1865, au 7e régiment de lanciers et va suivre les cours de l'école de Saumur comme officier d'instruction. Nommé lieutenant en 1870, il est prisonnier à la capitulation de Sedan et reçoit la Croix de la Légion d'honneur en juin 1871. En septembre 1871, il est affecté au 14e régiment de chasseurs. Il démissionne de l'armée comme capitaine. Il meurt en décembre 1924.
  • Louis de Montrichard (1853-1902), Vicomte de Montrichard, né chez ses grands-parents maternels au château de Bazoches, il épousa en 1881 Marguerite de La Motte-Ango de Flers (1860-1928). Il eut Roland de Montrichard (1882-1953).
  • Gabriel de Montrichard (1879-1963), chevalier de la Légion d'honneur, croix de guerre 1914-1918 avec une palme et deux citations. Il épousa en 1906 Yvonne Budes de Guébriant (1882-1957). Il fut maire de la commune de Saint-Parize-le-Châtel de 1935 à 1945.
  • Roland de Montrichard (1882-1953), chevalier de la Légion d'honneur. Il épousa en 1909 Catherine Picot de Moras d'Aligny (1885-1964). Il est membre de l'Académie des sciences, belles-lettres et arts de Besançon et de Franche-Comté[25]. Ancien président de la Jeunesse catholique du Loir-et-Cher, représentant du duc de Guise en Loir-et-Cher, délégué régional de la Société de secours aux blessés militaires (7e région), président de la Croix-Rouge française du département du Doubs, conseiller Général du Doubs, maire de Cléron (Doubs). Propriétaire du château de Cléron. Il eut comme enfants 1° Claude de Montrichard (1910-?) en religion, 2° Marie de Montrichard (1912-1986) mariée à Raoul de Warren (1905-1992), 3° Louis de Montrichard (1914-?), en religion, 4° Henri de Montrichard (1918-1981).
  • Henri de Montrichard (1918-1981), épousa Nüket CANKARDES (1917-2018). Il eut Christian-Gabriel de Montrichard (-), Claude de Montrichard (-) et Catherine de Montrichard (-) mariée à Hubert de COUËSSIN du BOISRIOU.
  • Claude-Louis de Montrichard (1894-1977), officier d'aviation, marié avec Marie-Geneviève-Amédée Dufaure en 1926. Né le 8 septembre 1894 à Montmédy (Meuse), il décède à Compiègne, le 22 février 1977. Engagé volontaire au 28e régiment de Dragons en 1914. Nommé brigadier fin 1914, maréchal des logis en avril 1915. Passé à l’aéronautique militaire comme élève pilote en septembre 1916, il passe son brevet de pilote militaire dans la foulée. Il fit différents stage de perfectionnement à l’école d’aviation militaire d’Avord, un stage de tir à l’école de tir aérien de Cazaux, un stage de "Haute École" à l’école d’aviation militaire de Pau. Pilote du GDE (Groupement des Divisions d'Entrainement) en mars 1917. Pilote du groupe 518 (escadrille F 40) en mai 1917. Pilote de l’escadrille N 95 / SPA 95 de mai 1917 à février 1919. Citation no 5106 à l’ordre de l’armée, en date du 26 septembre 1917, il est nommé sous-lieutenant en 1918. Affecté au EMA (État-Major des armées) en février 1919, il est nommé sous-lieutenant de réserve. Affecté au 33e régiment d’aviation d’observation de Mayence (Allemagne) en août 1920. Affecté, dans la réserve, au 1er régiment d’aviation de chasse de Thionville-Basse-Yutz (Moselle) en 1922. Chevalier de la Légion d’honneur, en date du 24 décembre 1936. Rappelé à l’activité à la base aérienne de Châteauroux en septembre 1938 puis au bataillon de l’air no 103 le 27 août 1939. Radié du cadre navigant à sa demande et classé dans les cadres sédentaires des officiers de réserve. Il est affecté au bataillon de l’air no 127 en janvier 1940, puis à la direction générale technique et industrielle en mars 1940. Citation no 5106 à l’ordre de l’armée, pilote à l’escadrille N 95 en 1917 : « Très bon pilote ayant plus de cent heures de vol au-dessus de l’ennemi. Le 3 juin 1917, dès le début d’un combat, a eu sa mitrailleuse enrayée. Par son attitude résolue, intimidé son adversaire et a ainsi permis à l’avion photographique qu’il protégeait de terminer sa mission. S’est à nouveau signalé, le 12 juillet et le 6 septembre 1917. »

Branches éteintes[modifier | modifier le code]

Première branche éteinte[modifier | modifier le code]

  • Nicolas de Montrichard (-), seigneur de Verger. Il épousa en premières noces Françoise de Blic en 1600, puis en secondes noces Bernardine de Chauvirey en 1604. De ce mariage, il eut 3 filles: 1° Marguerite de Montrichard, chanoinesse de Notre-Dame de Migette, 2° Antoinette de Montrichard, chanoinesse de Notre-Dame de Migette, 3° Denise de Montrichard, mariée en 1637 à Louis de Saint-Mauris, seigneur de d'Augeraus.

Deuxième branche éteinte[modifier | modifier le code]

  • Jean-Claude Ier de Montrichard, fils de Roland de Montrichard (1586-1641), marié à Marie de Cécile. Il eut pour enfant 1° Jean-Claude II de Montrichard (-), 2° Pierrette de Montrichard, mariée à Pierre-Joseph de Saix, Baron de Vive-Chazel, 3° Bernardine de Montrichard, morte fille.
  • Jean-Claude II de Montrichard, fils du précédent, tué au siège de Bude en 1686. Sans descendance.

Troisième branche éteinte[modifier | modifier le code]

  • Pierre Ier de Montrichard (-1531), seigneur de Flammerans, de Lieu, de Peintre et de Nant. Il est le fils de Guyot de Montrichard et de Marguerite de Fallerans. Nommé chevalier de l'ordre de Saint-Georges en 1504[26]. Marié en premières noces à Catherine de Flammerans (-) dont il eut 1° Étienne de Montrichard (1480-15??), 2° Jeanne de Montrichard (-) religieuse à Seurre, 3° Antoinette de Montrichard (-), Abbesse des Cordelières d'Auxonne, 4° Pierre de Montrichard (-). Puis en secondes noces avec Gasparine de Merlet, il eut 1° Jacques de Montrichard (-1603), Abbé de Billon[12], et 2° Anne de Montrichard (-) mariée à 1° Joachim de Poligny puis 2° Jacques de Montrichard son cousin.
  • Etienne de Montrichard (1480-15??), chevalier et seigneur de Flammerans, marié le 16 septembre 1522 à Madeleine de Scey (1499-1570), dame de Fertans. Il est d'une lignée remarquable de l'époque, de par son grand-père Jacques de Flammerans (1400-1480), officier-échanson de Charles le Téméraire, dernier duc de Bourgogne. Mais aussi par son arrière grand-mère Philiberte de Salins-La-Tour (-), cousine de Guigone de Salins-La-Tour (1403-1470) qui fonda les Hospices de Beaune. Il compte également deux autres aïeux de qualité; Guy de Salins-La-Bande (-1417), chevalier d'honneur de la duchesse Marguerite de Bourgogne, conseiller, chambellan et maître d'Hôtel du duc Jean Ier de Bourgogne (aussi connu sous Jean sans Peur), ainsi que Jacques Humbert de Grandson (1330-1389), écuyer, seigneur de Flammerans en 1360, capitaine d'Auxonne en 1371, écuyer de l'échansonnerie du duc de Bourgogne (1361-1363), écuyer de cuisine du duc de Bourgogne Philippe II le Hardi (1364-1388). Il eut pour descendance : 1° Hector de Montrichard (1532-1590), seigneur de Flammerans, 2° Jacques de Montrichard (-) seigneur de Fertans, 3° Pierre de Montrichard (-).
  • Jacques de Montrichard (-) seigneur de Fertans, marié en 1561 à Anne de Montrichard (-), sa germaine veuve de Joachim de Poligny, d'où : 1° Claude de Montrichard (-), 2° Anatole de Montrichard (-), 3° Melchior de Montrichard (-) mort jeune, 4° Catherine de Montrichard (-) mariée à François de Lallemand, Seigneur de Belmont et de Vaitte, 5° Claudine de Montrichard (-) mariée à Claude de Poligny, Seigneur d'Augeat.
  • Anatole de Montrichard (-), marié à Étiennette de Beaurepaire (-).
  • Claude de Montrichard (-), épousa Claudine de Vaudrey (-). Il eut 3 enfants: 1° Marc-Antoine de Montrichard (-) , 2° Claudine de Montrichard (-) Chanoinesse d'Epinal, mariée ensuite à Christophe de Cussigny, Seigneur de Viange, 3°...
  • Marc-Antoine de Montrichard (-), Seigneur de Coulans, marié à Jeanne de Montrichard (-), sa germaine. De cette union, il eut : 1° Edme-Adrien de Montrichard (-), 2° Anne de Montrichard (-) Chanoinesse à Château-Chalon, 3° Elisabeth de Montrichard (-) mariée à Alexandre de Belot, Seigneur de Chevigney.
  • Edmé-Adrien de Montrichard (vivant en 1683), ou Aimé-Adrien de Montrichard, Seigneur de Fertans, de Coulans et de Flammerans. Marié à Gabrielle de Bar (-), il eut pour enfants: 1° Gabriel-Joseph de Montrichard (-), 2° Alexandrine de Montrichard (-) mariée à Claude-Luc de Belot, Seigneur de Chevigney, 3° Claude-Louise de Montrichard (-) mariée à Bonnaventure Poutier, Seigneur de Sones, 4° Madeleine de Montrichard (-) mariée à Gérard de Boutechoux, Seigneur de Vilette et de Chavanne, 5° Gabrielle de Montrichard (-) morte fille.
  • Gabriel-Joseph de Montrichard (-), marié à Gabrielle-Françoise de Montrichard (-), sa germaine au 7e degré. Ils eurent pour fils Alexandre-Joseph de Montrichard (-1739).
  • Alexandre-Joseph de Montrichard (-1739), Seigneur de Flammerans et de Fertans, Capitaine de dragons au Régiment de Bauffremont. Chevalier de Saint-Georges (1728). Mort jeune sans alliance. Dernier de sa branche. La seigneurie de Fertans est vendue par décret, et acquise en 1737, par François de Renouard, sieur de Fleurey.

Quatrième branche éteinte[modifier | modifier le code]

  • Hector de Montrichard (1532-1590), écuyer, puis chevalier, seigneur de Flammerans, reçu docteur ès droit en 1555 à Ferrare (Italie), il avait étudié à Bologne, Ferrare et Dôle. Il est le fils d'Etienne de Montrichard et de Madeleine de Scey. Il épousa en 1577 Claudine de Chassagne (-) à Ornans. De cette union, il eut 1° Georges-François de Montrichard (-), 2° Henri de Montrichard (-), 3° Jeanne de Montrichard (1584-1591), 4° Jean-Baptiste de Montrichard (-), 5° Anne de Montrichard, 6° Jean de Montrichard (-) 1er comte de Montrichard. Il eut une fille illégitime avec Anne Ravallier (-), sa maîtresse, probablement sa servante ou gouvernante dont il dut connaître la famille en traversant la Bresse, au cours de ses voyages d'étude en Italie vers 1540. Il eut en plus de sa descendance officielle une fille illégitime: Barbe de Montrichard (1572-1616). "La bâtarde" fut généreusement dotée par son père Hector de Montrichard, ce pourquoi son seigneur de demi-frère, Jean de Montrichard (-), lui intenta un procès et le gagna sur son veuf (Pierre de Lemont) en 1628.
  • Jean de Montrichard (-) 1er comte de Montrichard et seigneur de Nans.
  • Jean-Baptiste de Montrichard (-), écuyer, seigneur de Flammerans. Il épousa en 1617 Georgine de Montrichard (-), sa germaine. Ils eurent pour enfants 1° Claude-Jean-Baptiste de Montrichard (1619-1682), 2° Louise de Montrichard (1635-) mariée en premières noces à Paul de Saint-Mauris, seigneur de Lambrey, et en secondes noces Antoine de Vaudrey, Baron de St Remy.
  • Claude-Jean-Baptiste de Montrichard (1619-1682), Seigneur d'Estroyes, de Grenod, de Flammerans, de Mercurey, de Flambault. Premier Capitaine au régiment d'Enghien. Il épousa en 1646 Anne de Digoine (-). Une borne en pierre[27],[28] du XVIIe siècle, armoriée des armes Montrichard sépare les communes de Rully et de Mercurey en Bourgogne. Sur la face sud côté Mercurey est sculpté le blason de Claude-Baptiste de Montrichard, tandis que sur la face nord côté Rully on peut observer les armoiries de la famille de Montessus. La borne du Mont Morin est inscrite aux monuments historiques depuis le 04/12/1921[29]. Il n'eut pas de descendence.

Cinquième branche éteinte[modifier | modifier le code]

  • Pierre de Montrichard (-). Il est le fils d'Étienne de Montrichard et de Madeleine de Scey. Il épousa Parise de Lantenne. Il eut pour enfants: 1° Antoine de Montrichard, 2° Jeanne de Montrichard (mariée à Simon Vellerot, Seigneur de Bussillon et de Mazoncle).
  • Antoine de Montrichard (-), épousa Françoise de St Belin avec qui il eut 2 fils: 1° Jacques de Montrichard, 2° Henri de Montrichard (Chevalier de Malte).
  • Jacques de Montrichard (-), marié à Eléonare Lullier. De ce mariage, il eut 1° Jeanne de Montrichard (mariée à Achille de Precipiano, Baron de Soye), 2° Anne de Montrichard (mariée à Claude de Brancion, seigneur de Visargent), 3° Antoinette de Montrichard (Abbesse des de Battant de Besançon).

Sixième branche éteinte[modifier | modifier le code]

  • Anatole de Montrichard (-), fils de Jacques de Montrichard. Il s'est marié à Étiennette de Beaurepaire dont il eut pour enfants: 1°Jeanne de Montrichard mariée à Marc-Antoine de Montrichard son germain, 2° Étiennette de Montrichard, mariée à Gabriel de Vaudrey, seigneur de Valleroy, 3° Georgine de Montrichard, mariée à Jean-Baptiste de Montrichard son cousin, 4° Gabriel de Montrichard, mort jeune, prieur de Vellexon.

Personnalités[modifier | modifier le code]

Armes et devises[modifier | modifier le code]

Armes des Montrichard.
  • De vair à la croix de gueules[4]
  • Devise : Praemium Virtutis Honos[4], qui peut être traduit par «l'Honneur récompense le courage».
  • Adage : Gravité de Montrichard[30] ou encore Loyaulté de Montrichard[31].

Principales alliances avec d'autres familles franc-comtoises[modifier | modifier le code]

Les principales alliances comtoises de la famille de Montrichard sont: Andelot-Coligny, Salins, Eternoz, Merceret, Frontenay, Viremont, Quingey, Fallerans, Lantenne, Usie, Arlay, Triest, Tournon, Visemal, Saix, Jougne, Scey, Flamerans, Vaudray, Poligny, Saint-Belin, Digoine, Bar, Saint-Maurice, Brancion, Precipiano, Vauchard, etc...

Notes et références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Jougla de Morenas, Grand Armorial de France, Catalogue Général des Armoiries des Familles Nobles de France, vol. V, Paris, Société du Grand Armorial de France, , p. 106
  2. a et b DIRECTION des SERVICES d'archives de la NIEVRE dressé par Madeleine CHABROLIN, 1985 (Lien site web)
  3. a et b François-Alexandre Aubert de La Chenaye-Desbois, Dictionnaire de la noblesse, contenant les généalogies, l'histoire & la chronologie des familles nobles de France, l'explication de leur armes & l'état des grandes terres du royaume, Paris, La veuve Duchesne, 1770-1786, 747 p. (lire en ligne), p. 448
  4. a b et c Comte Roland de Montrichard, Trois siècles de parentés (1640-1940). Descendance complète en ligne masculine et féminine des 32 ascendants de Louis, Vicomte de Montrichard (1853-1902), Paris, SGAF, 1953, 224 p.
  5. Jean Baptiste Pierre Jullien de Courcelles, Dictionnaire universel de la noblesse de France, Paris, Au Bureau général de la noblesse de France, , 449 p., p. 287.
  6. a et b François Ignace Dunod de Charnage, Mémoires pour servir à l'histoire du comté de Bourgogne, Besancon, Jean-Baptiste Charmet, , 783 p., p. 279.
  7. « L'Association d'entraide de la Noblesse Française », sur anf.asso.fr (consulté le ).
  8. a et b Nicolas-Antoine Labbey-de-Billy, Histoire de l'Université du Comté de Bourgogne et des différens sujets qui l'ont honorée : pour faire suite aux ouvrages historiques de M. Dunod, Besançon, Imprimerie de Claude François Bourgeon, , 994 p. (lire en ligne).
  9. Baron Jean-Louis d'Estavayer, Histoire généalogique de la maison de Joux, Besançon, Imprimerie et lithographie de Sainte-Agathe, , 181 p. (lire en ligne), p. 85-87.
  10. François Nicolas Eugène Droz, Mémoires pour servir à l'histoire de la ville de Pontarlier, contenant des recherches sur le véritable emplacement d'Ariarica et d'Abiolica, A. Faivre fils, , 269 p. (lire en ligne), p. 74.
  11. A. ROUSSET, Dictionnaire GEOGRAPHIQUE, HISTORIQUE et STATISTIQUE Des communes de la Franche-Comté, , Tome IV.
  12. a et b Abbé Hugues Du Tems, Le Clergé de France, ou tableau historique et chronologique des ..., Volume 2, Paris, Delalain, , p. 118.
  13. a et b Histoire de l'Université du Comté de Bourgogne et des différens sujets qui l... De Nicolas-Antoine Labbey-de-Billy p. 126.
  14. Société d'émulation du Doubs, Mémoires: Volume 7, Besançon, Imprimerie Dodivers et Cie, , 499 p. (lire en ligne), p. 306.
  15. Emile Longin: La dernière campagne du Marquis de Conflans, Besançon, 1896
  16. a et b Gérard LOUIS, La Guerre de Dix-ans (1634-1644), Besançon, Presses universitaires de Franche-Comté - Annales Littéraires, , 379 p. (lire en ligne), Chapitre 4. La lutte pour la survie pp. 205-264 (ISBN 9782251606514).
  17. Aperçu succinct sur l'ordre des chevaliers de Saint-Georges du comté de Bourgogne ; suivi de ses statuts et règlements, et de la liste de tous les chevaliers qui y ont été reçus depuis sa première restauration de l'an 1390 jusqu'à ce jour, 1833. Collection numérique : Fonds régional : Franche-Comté
  18. Désiré Monnier (1788-1867), Les jurassiens recommandables par des bienfaits, des vertus, des services plus ou moins utiles, et par des succès obtenus dans la pratique des arts et des sciences , pour servir à la statistique morale du Jura et à l'histoire des arts en Franche-Comté, Lons-le-Saunier, Imprimerie Frederic Gauthier, , 513 p. (lire en ligne), p. 267-268.
  19. « DIRECTION des SERVICES d'archives de la NIEVRE. du FONDS 30J, ARCHIVES DU CHATEAU DE. Dressé par Madeleine CHABROLIN - PDF Free Download », sur docplayer.fr (consulté le )
  20. a et b Gerard A. Besson-Caribbean Historian, « More on the French Creoles », sur The Caribbean History Archives, (consulté le )
  21. Pierre-Thomas LAMBERT (1748-1802), Mémoires de famille de l'abbé Lambert, dernier confesseur du duc de Penthièvre, aumônier de la duchesse douairière d'Orléans, sur la Révolution & l'Émigration, 1791-1799 / publiés, pour la Société d'histoire contemporaine, par Gaston de Beauséjour, Paris, , 347 p., CHAPITRE III: ACCUEIL QUE REÇOIVENT LES ÉMIGRÉS, ET PRINCIPALEMENT LES PRÊTRES DÉPORTÉS, A CRESSIER, A ESTAVAYER, FRIBOURG ET SOLEURE. — LEUR CONDUITE, LEUR MANIÈRE DE VIVRE. — DÉVOUEMENT DE L'ABBÉ DE MONTRICHARD..
  22. a et b Histoire des archevêques de Bordeaux : le palais Rohan et les archevêchés, les chapelles et les églises de Bordeaux, les évêques de Bazas., Dossiers d'Aquitaine, [2010] (ISBN 978-2-84622-197-9 et 2-84622-197-9, OCLC 841800022, lire en ligne).
  23. Victor PIERRE (1834-1906), « L'Abbé de Montrichard et l'émigration française à Fribourg », Revue des questions historiques,‎ , In-8° , 28 p. (BNF 31108883).
  24. Jean-Marie Thiébaud, Les Marquis en Franche-Comté, et leurs liens avec de nombreuses familles françaises et étrangères, Pontarlier, Thiébaud, .
  25. Sébastien Terrier de Loray, Procès-verbaux et Mémoires de l'Académie de Besançon, (1925-1926), p. 57-76..
  26. BnF Gallica, Aperçu succinct sur l'ordre des chevaliers de Saint-George du comté de Bourgogne ; suivi de ses statuts et règlements, et de la liste de tous les chevaliers qui y ont été reçus depuis sa première restauration de l'an 1390 jusqu'à ce jour, 1833. 1834., p. 101.
  27. « Notice no PA00113357 », sur Base Mérimée, ministère français de la Culture.
  28. « Notice no PA00113408 », sur Base Mérimée, ministère français de la Culture.
  29. Borne armoriée du Mont Morin
  30. Nicolas Viton de Saint-Allais, Annuaire historique, généalogique et héraldique de l'ancienne noblesse de France, Paris, , p. 431.
  31. Alphonse Chassant et Henri Tausin, Dictionnaire des devises historiques et héraldiques, Paris, J-B Dumoulin, Libraire-Editeur, 13 Quai des grands Augustins, Paris, , 394 p. (Bibliothèque nationale de France, département Philosophie, histoire, sciences de l'homme, 8-G-457).

Articles connexes[modifier | modifier le code]